J'ai organisĂ© des rencontres d'affaires pour le fondateur de SUBWAY lorsqu'il est venu en France rechercher des partenaires en 1990. En gĂ©nĂ©ral l'accueil est convenable, y compris au Centre Clos du ChĂȘne de MontĂ©vrain dans le 77. Mais j'ai Ă©tĂ© fort surpris par l'attitude du Monsieur ĂągĂ© de la quarantaine, qui tenait la caisse et semblait ĂȘtre le Manager. J'avais demandĂ© un sandwich hors menu. Au moment de passer en caisse, il me demande si je veux inclure l'offre du menu. Je lui demande de me dire la diffĂ©rence de prix que cela fera. Au lieu de me rĂ©pondre, il me dit, "que voulez-vous comme boisson et dessert?". Je lui rĂ©ponds "de prĂ©fĂ©rence Orangina et cookie". Et voilĂ qu'il me met Orangina et cookie dans mon sac sans toujours rĂ©pondre Ă ma question sur le prix. Je lui dis, "je vous ai demandĂ© un prix et vous me mettez devant le fait accompli comme si j'avais dĂ©jĂ passĂ© commande!". Le Manager prend un air agacĂ©, retire les articles supplĂ©mentaires, et me dĂ©clare qu'il n'avait pas compris et qu'il ne pouvait pas rĂ©pondre Ă ma question, car les prix varient suivant les articles rĂ©clamĂ©s. A ce moment, une jeune vendeuse un peu plus dĂ©gourdie s'empresse de me dire, "la diffĂ©rence est de 2 Euros 50 environ". J'ai donc passĂ© commande et suis parti. Mais quel cirque pour une question Ă©lĂ©mentaire! Et accueil du Manager qui ne me donne pas envie de repasser tant qu'il est lĂ .